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Monday, March 10, 2014

À l'occasion de la Journée internationale de la femme, la Fédération Internationale des Femmes Diplômées des Universités (FIFDU/IFUW) exhorte les États à s'engager pour un objectif distinct relatif à l'enseignement secondaire, la lecture...


- La qualité et l'équité dans l'éducation sont des facteurs indispensables au développement durable et à la croissance économique -

GENÈVE - Lundi 10 Mars 2014 [ME NewsWire]

(BUSINESS WIRE)--

À l'occasion de la Journée internationale de la femme, la Fédération Internationale des Femmes Diplômées des Universités (FIFDU/IFUW) exhorte les États à s'engager pour un objectif distinct relatif à l'enseignement secondaire, la lecture, l'écriture et le calcul pour les filles et les femmes, dans le cadre de la formulation du programme post-2015

La Fédération Internationale des Femmes Diplômées des Universités (FIFDU/IFUW), dont le siège est à Genève en Suisse, préconise un objectif distinct d'équité et de qualité dans l'enseignement secondaire, la lecture, l'écriture et le calcul pour les filles et les femmes dans le cadre de la formulation du programme post-2015, à l'occasion de la Journée internationale de la Femme le 8 mars.

Un monde dans lequel les filles font des études, sont protégées et en bonne santé est indispensable au développement durable et à la croissance économique pour tous. L'équité et la qualité de l'éducation nécessitent de la part des gouvernements un engagement explicite à l'égard des objectifs relatifs à l'enseignement secondaire, à la lecture, à l'écriture et au calcul.

« Il existe une corrélation manifeste entre la marginalisation, la vulnérabilité et le faible niveau d'instruction », affirme Catherine Bell, la présidente de la FIFDU. « En conséquence, tout objectif post-2015 doit pourvoir aux besoins de l'ensemble des filles et des femmes, y compris les plus vulnérables, telles que celles qui provienne de groupes indigènes, les handicapées, les détenues et celles qui sont soumises à des catastrophes naturelles et des conflits. Dans un environnement de plus en plus difficile, nous devons veiller à ce que les filles et les femmes aient la possibilité d'assurer leur propre subsistance ».

Si toutes les filles avaient un niveau d'études secondaires, le taux des mariages d'enfants serait réduit de deux tiers. Si toutes les femmes avaient un niveau d'études secondaires, la mortalité infantile diminuerait de moitié, sauvant trois millions de vies. En Afrique subsaharienne, chez les femmes n'ayant pas fait d'études, on compte deux fois plus de naissances que chez celles ayant fait des études secondaires.1 Dans les pays affectés par les conflits, 50 pour cent des enfants ne sont pas scolarisés. À l'échelle mondiale, parmi les adolescents non scolarisés, un tiers d'entre eux vivent dans des pays affectés par des conflits.2

La Fédération Internationale des Femmes Diplômées des Universités (FIFDU/IFUW) a son siège à Genève en Suisse et ses membres sont originaires du monde entier. Fondée en 1919, la FIFDU est la principale organisation mondiale au service des filles et des femmes dirigée par et pour les femmes, défendant et promouvant la cause des droits des femmes, de leur égalité et de leur autonomisation à travers l'accès à un enseignement et à une formation de qualité, jusqu'aux niveaux les plus élevés.

La FIFDU a un statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) et est une ONG qui entretient des relations officielles avec l'UNESCO. Informez-vous à propos de nos subventions et bourses et de notre travail de sensibilisation. Suivez-nous sur Facebook, LinkedIn et Twitter (@IFUWomen)

- Fin -

1 Girls’ education - the facts (L'éducation des filles - les faits), Rapport mondial de suivi sur l'éducation pour tous, UNESCO, 2013

2 « Children Still Battling to Go to School » (Les enfants luttent encore pour aller à l'école), UNESCO, 2013

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Pour de plus amples informations, veuillez contacter :

International Federation of University Women (Fédération Internationale des Femmes Diplômées des Universités)

Nina Joyce

Tél. : +41 22 731 23 80;

Courriel : nj@ifuw.org









Permalink: http://me-newswire.net/news/10267/fr

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